anciens et nouveaux
départ de Mme Katrin BIDERBOST
Par Gaëtan DE CAMARET, proviseur
Nommée en 2024 professeure d’allemand au Lycée-Collège de la Planta, Mme Katrin BIDERBOST a choisi de poursuivre sa carrière à l’Ecole de Commerce et de Culture Générale de Sierre.
Les étudiants ont pu profiter cette année de son expérience professionnelle, acquise en Germanistik et Italianistik à l’Université de Berne et à l’Università per Stranieri di Siena en Italie, puis déployée entre 2020 et 2023 aux Collèges de Gambach et de St-Michel de Fribourg.
Nous la remercions pour le travail effectué, pour l’attention portée aux élèves de la Planta, et lui souhaitons plein succès dans la suite de sa carrière.
départ à la retraite de Mme Fabienne DUCREY
Par Valérie BENEY-ZAMBAZ et Isabelle GAY, professeures
Chère Fabienne,
Une page se tourne… Le 18 juin, tu mettras un point final à ta longue carrière au LCP. C’est avec émotion que nous feuilletons les différents chapitres que tu as écrits au sein de notre établissement.
Te souviens-tu d’Unterwegs, de Sowieso ou encore de Stufe ? Professeure d’allemand durant de nombreuses années, tu as su, grâce à ton enthousiasme indéfectible et à tes talents d’enseignante, faire apprécier à tes élèves les beautés et la richesse de la langue de Goethe.
Éprise de belles lettres, tu as porté haut les couleurs du Prix des collégiens de Sion. Grâce à toi, des centaines d’élèves ont découvert le plaisir de lire des ouvrages romands et contemporains, soigneusement choisis. Quand tu passais dans les classes présenter ce prix et les ouvrages retenus, tes résumés étaient vivants, captivants, faisant naître l’envie de plonger immédiatement dans les récits. Ce projet leur a permis de partager leur expérience de lecteurs et d’exercer leur sens critique.
« Nani », dernier livre de Mélanie Richoz, a gagné l’an dernier le Prix du Roman des Romands. Tes élèves ont eu la chance de participer à cette extraordinaire aventure littéraire. Dans ta salle de classe, sous les toits du LCP2, tu as offert à tes étudiants un moment de discussion et de partage intense avec cette auteure à la personnalité attachante.
Combien de samedis matin as-tu ouvert les portes du LCP pour que des étudiants passionnés d’écriture puissent donner libre cours à leur inspiration ? Dans cet espace dévoué à la création littéraire, ces jeunes plumes ont rédigé des poèmes, des haïkus, des nouvelles qu’ils ont ensuite, pour certains, mis en scène au Teatro Comico.
Le théâtre a également occupé une place de choix dans ton enseignement. La littérature doit se vivre et où mieux que dans une salle de spectacle peut-on découvrir Racine, Anouilh, Sartre, Camus… « Et si vous jouiez cette scène ? » L’invitation est lancée, tes étudiants deviennent comédiens ou metteurs en scène. C’est ainsi que la langue de Molière prend tout son sens, lorsqu’un élève incarne un personnage et saisit la profondeur du texte à interpréter.
Derrière ta passion pour les livres se cache un amour inconditionnel pour l’humain. Toujours à l’écoute de tes élèves et de tes collègues, tu les places au centre de tes préoccupations, percevant avec tact ceux qui ont besoin d’être remotivés. Ton immense empathie t’a naturellement conduite à assumer la tâche de médiatrice au sein de notre établissement. Un sourire, un bonjour, un rire franc, un regard de réconfort, le mot qui fait du bien, voilà ce qui va nous manquer.
Dès le matin, jamais dépassée par les changements de dernière minute, un café à la main, tu aimais partager des moments avec tes collègues. Portant des tenues élégantes et colorées, tu nous accueillais chaque jour avec un large sourire et un bonjour de bienvenue. Ouverte à la discussion, toujours prête à échanger sur des sujets pédagogiques, à partager ton expérience, tu as été un pilier du groupe de français. Sans jamais te laisser impressionner par les turbulences, tu as su garder ta ligne directrice, ta passion et ta bonne humeur. Ton engagement a été exemplaire.
Une page s’est tournée… Nous te souhaitons une belle retraite où ta plume libérée de toute contrainte scolaire pourra écrire encore de nombreux chapitres du riche livre de ta vie.
départ à la retraite de Mme Martine Perruchoud
Par le groupe de philosophie
Il est des professeurs dont le dynamisme et la passion vous transportent. Ceux-là vous invitent à investir, intellectuellement et affectivement, tout un champ de la pensée humaine. Qu’ils parlent de problématiques tout à fait éloignées de vos préoccupations premières ou évoquent les enjeux brûlants de votre temps, ils marquent votre esprit par l’érudition et la profondeur de leurs propos. Ils resteront pour vous une référence.
Il est des collègues qui vous soutiennent non seulement dans vos délicates premières années d’enseignement, mais tout au long de votre parcours professionnel. Certains d’entre eux vous incitent, par l’exemple, au dépassement constant de vous-même. Si vous avez la chance de les compter parmi vos collègues de branche, ils vous donnent de nombreuses occasions d’échanges éclairants et stimulants. Ils sont de bon conseil quand vous avez à affronter des turbulences.
Il est enfin des personnes à l’humanité remarquable. Pour elles, aucun élève, aucun collègue n’est un simple numéro, mais plutôt une individualité à part entière, avec laquelle ils tissent les liens appropriés.
En Martine PERRUCHOUD, ce sont toutes ces vertus qui se trouvent synthétisées.
D’une grande curiosité intellectuelle, Martine est convaincue par les humanités grecques (et latines), qu’elle étudie au Lycée-Collège des Creusets (LCC), après avoir été émerveillée par la sonorité et l’aura de mystère entourant le terme d’« ananké », un mot qu’elle découvre dans Notre-Dame de Paris de Victor Hugo. Celui qui n’est pas attaché à l’idée de libre-arbitre et qui se montre conscient de l’humanisme de Martine y verra peut-être un clin d’œil du destin…
Outre le grec, elle apprécie particulièrement les cours de philosophie, qui l’assurent que les problématiques qui l’habitent depuis longtemps font l’objet d’un champ d’études à part entière. Elle en fera sa discipline principale. Le français la passionnant également, une combinaison académique idéale est toute trouvée. Direction : l’université de Fribourg.
Ses études gymnasiales et académiques lui permettent de côtoyer des professeurs inspirants, modestes, captivants et compétents. D’Albert PRAZ, ce passionnant professeur de grec pour qui les humanités doivent être placées au faîte du savoir, à Dominic O’MEARA, dont l’humble apparence offre un contraste saisissant avec l’immense compétence en philosophie antique, son esprit a été abreuvé aux meilleures sources.
C’est à la faveur d’un remplacement que Martine découvre le Lycée-Collège de la Planta (LCP). Elle ne le sait alors pas encore, mais elle va lui donner le meilleur d’elle-même pendant 35 ans. Elle y dispense des cours de philosophie, bien évidemment, mais aussi de français, et même d’éthique et de culture religieuse.
Nous sommes nombreux à penser que, en renonçant à s’engager dans l’aventure doctorale pour enseigner, Martine a fait le bon choix. Elle a si bien convaincu plusieurs générations d’étudiants de l’intérêt de sa discipline fétiche que le groupe de philosophie actuel du LCP est constitué de deux de ses anciens étudiants et d’une de ses stagiaires pédagogiques ! Avouez que, sur six personnes, ce n’est pas si mal ! Et ce, sans même dénombrer ses anciens étudiants qui se sont lancés dans des études de philosophie, pour ensuite rejoindre, ailleurs, l’enseignement.
Remarquant ses qualités intellectuelles et humaines, Marius DUMOULIN, alors Recteur du LCP, l’appelle en 1994 à compléter l’équipe de direction. Elle est nommée proviseure, un poste qu’elle occupe 7 années durant. Parallèlement, Martine entre au comité de l’Association valaisanne des professeurs de l’enseignement secondaire (AVPES). Elle y est amenée à s’engager profondément pour défendre la qualité de l’enseignement, que les autorités valaisannes cherchent à réformer via le projet « Education 2000 ». Réfutant, entre autres contre-vérités, l’idée que l’école « peut faire mieux avec moins », Martine et ses collègues ne comptent pas leurs heures pour documenter, expliquer, convaincre, mobiliser, afin de s’opposer à la prise de mesures délétères pour les étudiants comme pour les enseignants. C’est un succès : le projet finit par être refusé au terme d’un référendum populaire. L’intelligence collective a délivré son verdict !
Son engagement en faveur d’un enseignement de qualité se double d’un engagement en faveur de la justice sociale. Que ce soit au sein du conseil communal de Chippis, où elle est en charge des écoles, pour la cause de l’égalité femme-homme, ou à chaque occasion où cela s’avère nécessaire ou utile. Il est à propos de rappeler qu’elle était au nombre des collègues particulièrement engagées dans le cadre des mobilisations du 14 juin, et que ses parcimonieuses et réfléchies prises de parole aux assemblées générales et à celles de l’AVPES cherchent toujours à pointer du doigt de manière constructive la racine d’un problème, tout autant qu’à proposer des pistes de solution réalistes.
A l’heure de tourner la page de sa carrière d’enseignante, on peut dire sans s’avancer imprudemment que Martine a passionnément aimé ce métier. Elle peut être fière de ce qu’elle a fait en termes de transmission de connaissances et des compétences indispensables à ses étudiants. Elle doit être heureuse d’avoir pu tisser avec chaque nouvelle volée d’étudiants une relation pédagogique empreinte d’empathique exigence.
Martine affirme devoir beaucoup à ses collègues, dans une profession où le partage, la solidarité et la bienveillance entre pairs permettent de faire face aux difficultés. Mais ceux-ci lui doivent en retour énormément, à commencer par ses collègues du groupe de philosophie.
La philosophie antique était structurée par le rapport « maître-disciple ». Ce dernier s’attachait à celui-là, car il voyait en lui un idéal théorique et pratique. Pour plusieurs d’entre nous, Martine a été cet idéal-là. Nous lui souhaitons une belle et riche retraite, entourée des siens et engagée dans d’épanouissantes activités susceptibles de nourrir toutes les dimensions de sa remarquable personnalité.
départ à la retraite de M. Bernard Otz
Par Gaëtan DE CAMARET, professeur
De ses trente-sept ans de carrière, je n’ai vu que les neuf dernières. Pourtant, je ne doute pas que toutes furent belles et pleines de satisfaction. La bonne humeur et l’humour si constants (il sait bien que ces paronymes ont la même étymologie, celle du liquide) sont chez lui comme une eau spontanée qui coule entre les doigts de celui qui voudrait saisir l’homme derrière l’enseignant.
Par l’embrasure d’une salle de classe, quand il suspend la conversation avec les élèves le temps d’un ample salut de la main, ou par-dessus la foule des couloirs où il ne manque pas d’adresser à tous un mot enjoué et désarmant, Bernard cache aussi bien qu’il révèle une personnalité affable et discrète. Lui qui dit, en plaisantant, n’exister que par sa femme Nicole, il a su organiser sa vie professionnelle à temps partiel pour ne pas dépasser le taux de travail de 150% que le Département recommandait pour les époux engagés dans l’enseignement public. L’élégance d’un pas de recul pour faire une place à d’autres dans la lumière, n’est-ce pas aussi le moyen d’offrir aux élèves l’occasion d’un apprentissage actif ?
Diplômé en français, histoire, anglais et linguistique, Bernard a enseigné un an au Cycle d’Orientation des Collines à Sion, puis a fait la première moitié de sa carrière à l’Ecole Supérieure de Commerce de Sion. Il a rejoint le Lycée-Collège de la Planta en 2007 pour dix-neuf ans d’enseignement qui laisseront aux élèves le souvenir d’un professeur à l’écoute, allègre et bienveillant.
Au nom de tous mes collègues, je lui souhaite une retraite aussi équilibrée et sereine que le fut sa présence parmi nous. Que la paix des séjours au mayen, désormais multipliés, puisse être savourée en famille pour longtemps !
départ à la retraite de Mme Nicole OTZ
Par Célien KOTTELAT, professeur
Chère Nicole,
Si tu me le permets, j’aimerais faire un petit détour par le passé et laisser la parole au collégien que j’étais. Celui-là, un peu plus jeune – et un peu plus chevelu ! – aurait quelques mots à te dire. Il t’appellera « Madame » et te vouvoiera naturellement. Tu hausseras sûrement un sourcil : « Pourquoi donc ce cérémonial ? » Eh bien, tout simplement parce qu’il me semble plus juste que ce soit l’élève – celui qui aimait tant tes cours – qui te rende hommage aujourd’hui. Et ne te méprends pas : ma voix n’a rien d’unique. Elle se confond avec celle de centaines, de milliers d’autres élèves qui, au fil des années, ont tous pensé plus ou moins la même chose : que tu es une prof comme on en rencontre peu et qu’on n’oublie pas.
Chère Madame OTZ,
Vous avez passé cinquante-sept ans à côtoyer les salles de classes… Ce n’est plus un métier, c’est une vocation ! Après l’école obligatoire à Sion, vous entrez en 1978 au Collège Sainte-Marie des Anges. En 1981, l’établissement devient mixte, change de nom et se transforme en Lycée-Collège de la Planta. Deux ans plus tard, vous décrochez votre maturité, section latin/anglais. Suit alors l’université à Genève, avec des études en français, histoire, et égyptologie, perfectionnant alors votre profil littéraire, historique et pharaonique. Et comme toute Cléopâtre digne de ce nom, vous n’étiez pas seule : Bernard n’était jamais bien loin. Pas tout à fait César… mais enfin, la rime est là, et l’alliance tenace !
Une licence ès Lettres en poche en 1988, vous enseignez une année au CO des Collines, les maths et les sciences s’il vous plaît – y aurait-il quelque chose que vous ne savez pas faire ? S’ensuit une année de remplacement aux Creusets. En 1990, vous revenez à la Planta, votre collège. Vous ne le quitterez plus.
Pendant 35 ans, vous aurez traversé à peu près tout ce que l’établissement pouvait proposer : deux rectrices, trois recteurs, des hiéroglyphes mystérieux (ISM, edu.vs.ch, RRM, Éducation 2000…), les projets pédagogiques (Le goût des lettres pour ne citer que lui), les réunions interminables, les photocopieuses capricieuses, les chantiers bruyants et même, à partir de 2007, la cohabitation quotidienne avec votre mari dans la salle des maîtres.
Mais surtout, vous avez enseigné. Le français, principalement. Cette langue, vous l’avez transmise avec clarté, sans effet, sans artifice, mais avec la fermeté douce de celles et ceux qui savent vraiment ce qu’ils disent, qui imposent le respect sans avoir jamais à l’exiger. Ce que j’ai retenu de vos cours, ce sont les lectures des grands auteurs bien sûr, auteurs que vous avez toujours su mettre à notre portée, mais c’est aussi et surtout cette manière d’enseigner avec douceur, sans jamais hausser le ton, sans juger. Vous étiez là, attentive, toujours présente, toujours juste, tout aussi professionnelle que maternelle avec les grands enfants que nous étions.
Aujourd’hui, vous partez. Discrètement, comme toujours. Sans tambour ni trompette. Mais on ne vous laissera pas filer sans vous dire à quel point vous avez compté. Pour nous, vos collègues. Pour vos élèves. Pour l’école.
Pas besoin de grandes formules : juste ce mot simple et sans maquillage – merci.
Bonne retraite à toi !
départ à la retraite de l’Abbé David RODUIT
Par le Groupe Planta Spiritualité et le groupe d’ECR
Cher David,
Après 17 ans à arpenter les couloirs du collège de la Planta avec ta légendaire bonne humeur et ton sourire aussi constant que la cloche de 08h10, l’heure est venue pour toi de tirer ta révérence… ou du moins de quitter officiellement le poste d’aumônier. Parce que soyons clairs : dans les esprits et les cœurs, tu vas rester encore longtemps.
On pourrait faire une longue homélie – tu en as sûrement entendu des centaines – mais restons fidèles à ton style : simple, vrai, et un brin espiègle.
Voili, voilo, comme tu dirais si joliment (et inlassablement).
Tu nous as prouvé qu’on pouvait être aumônier et humain, fidèle à sa mission sans jamais se prendre au sérieux. Tu étais ponctuel à l’heure près, plus précis qu’une montre suisse, et pourtant jamais pressé quand il s’agissait d’écouter un élève en questionnement, un collègue en doute, ou simplement de savourer un café en salle des maîtres (où ta présence, chaque vendredi, était toujours remarquée – et appréciée).
Tu t’es investi dans la vie du collège avec un zèle presque évangélique : présent aux assemblées générales, aux soupers du personnel, aux pauses-café… Bref, tu t’es intégré avec naturel et sincérité dans ce joyeux corps professoral, où tu n’as jamais laissé ton statut « partiel » te tenir à l’écart. Bien au contraire, tu t’es investi entièrement dans une fonction pourtant fractionnée. Mais ton engagement auprès de tes collègues ne s’est pas arrêté aux murs de l’école. Tu as aussi été une présence précieuse et discrète pour eux dans leur propre vie spirituelle : en célébrant des mariages, en concélébrant des enterrements, ou en te rendant disponible pour tout rite demandé. Toujours avec bienveillance, toujours avec humilité, tu as su être là dans les moments clés de la vie, avec la même attention que celle portée aux élèves.
Le vendredi midi, pendant que d’autres pensaient à l’apéro de 15h30 ou au week-end, toi, tu étais là, attentif et disponible pour les jeunes. Pas pour leur faire la morale, non : pour les écouter, les accompagner, les aider à formuler leurs doutes ou simplement poser des mots sur leurs silences.
Sur le temps de midi, tu fus là dans les catacombes du LCP (les abris), puis plus tard à la chapelle de la « Petite Maison » pour célébrer l’eucharistie de Celui en qui tu crois, en qui tu mets ta foi et au nom de qui tu continues de répandre la paix et la joie qui déborde de ton humanité !
Et puis, il y a les camps-réflexion, ces grands moments suspendus au Simplon ou à Saint-Oyen, où l’on t’a vu dans tous tes états : redoutable au baby-foot (certains en portent encore les stigmates), chauffeur de salle au karaoké, et toujours discret, mais bien présent quand un jeune cherchait un regard bienveillant, une parole rassurante ou un simple accompagnement dans son cheminement intérieur.
Cher David, dans les moments difficiles, tu as été le ciment qui a permis à l’équipe de tenir bon, l’un des piliers solides sur lesquels l’aumônerie a pu s’appuyer. Présent sans jamais t’imposer, tu as su accorder les sensibilités, donner le ton quand il le fallait, et surtout, garder la musique vivante même quand l’harmonie était fragile.
Alors pour tout cela – ta ponctualité, ta serviabilité, ta chaleur humaine, ton « voili, voilo » contagieux, ton engagement discret, mais essentiel – merci.
On te souhaite une suite tout aussi lumineuse, riche en rencontres, en baby-foot (pour entretenir la légende), et surtout en cafés partagés, car, après tout, c’est souvent là que commencent les plus belles discussions.
Avec gratitude, respect et beaucoup d’affection,
Tes collègues du LCP
départ de M. Ivano SOLOMBRINO
Par Marylène VOLPI FOURNIER, professeure
Monsieur SOLOMBRINO, communément nommé Ivano par ses élèves et ses collègues tout incertains de la prononciation italienne de son nom de famille, a commencé son parcours au Lycée-Collège de la Planta en tant que stagiaire en philosophie. Dès son obtention du précieux sésame de la HEP en italien et philosophie, il a continué dans l’établissement en tant qu’enseignant de ces deux matières.
De contact très facile avec les étudiants et les étudiantes, Ivano s’est illustré par son style relax de sorte que tous le connaissaient de réputation avant même de l’avoir eu en cours.
Son intérêt pour les affaires du monde lui a donné accès au pilotage du FAP (Forum annuel de la Planta). Il s’y est illustré avec son collègue et néanmoins compère d’idéaux pédagogiques Bernard-Olivier POSSE.
Devenu papa et installé durablement dans le canton de Vaud, il a décidé d’accepter le défi d’être enseignant dans un nouveau lycée de la Riviera vaudoise. Ses collègues de philosophie et d’italien le remercient pour ces années passées ensemble et lui souhaitent le meilleur sur le plan personnel et professionnel en terre vaudoise. Qu’il y apporte son italianité et son sens du contact !
les nouveaux
En août 2024, 7 nouveaux professeurs ont complété l’équipe en place :
- Mme Katrin BIDERBOST : Allemand
- Mme Pauline BOILLAT : Allemand
- Mme Elodie FOLLONIER : Ethiques et cultures religieuses
- Mme Marie GASPOZ : Français
- Mme Annaïk LEPOURTOIS : Français
- M. Gilles LUISIER : Histoire
- M. Alwin THEYTAZ : Education physique






